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Les obligations assurantielles pour les entreprises et les professionnels

Souscrire une assurance professionnelle est primordial tant pour les employés que pour la survie de l’entreprise lui-même. Pour les chefs d’entreprise, il faut bien évaluer les risques pour bien choisir l’assurance adéquate. Voici quelques idées sur ces types de mutuelles.

Bien choisir son assurance professionnelle pour le bien de son entreprise

L’avantage de ces types de contrats d’assurance pour professionnel, c’est que les modalités sont taillées à la mesure de l’entreprise. Dans cette optique, la nature, le domaine, le niveau de risque de l’activité est pris en compte au début.

Besoin d’une garantie variée et adaptée aux besoins de l’organisation ? L’assurance multirisque professionnelle (MRP) est la mieux adaptée. Ce type de contrat est destiné aux professions libérales, commerçants, artisans, aux prestataires de services et aux associations. Certes, il ne faut pas oublier que ces types de garanties doivent couvrir le chef d’entreprise, son conjoint collaborateur, les salariés, etc.

L’obligation de l’employeur

En principe, dans tous les établissements privés, l’employeur à l’obligation de proposer une couverture santé collective à ses employés. Dans certains cas, les salariés en contrat court peuvent être dispensés d’adhérer à la mutuelle collective. À la place, ils peuvent bénéficier d’un versement santé délivrée par l’employeur. Par ailleurs, l’entreprise choisit librement l’assureur auprès de qui elle négocie le contrat d’assurance.

Il y a des professions spécifiques qui nécessitent une souscription obligatoire pour la garantie de responsabilité civile professionnelle selon Assurable. C’est le cas des professions réglementées. Les professionnels dans le domaine de la médecine, les experts-comptables, les agents immobiliers, les avocats sont concernés. D’un autre côté, les spécialistes de bâtiments et de la construction sont dans l’obligation de souscrire une assurance décennale d’après ce site. L’idée est de faire rembourser les maîtres d’ouvrage en cas de dommages apparus sur la construction dans un délai fixé par la loi.